Samedi 26 février, les patrouilleurs de la société Autoroutes et tunnel du Mont-Blanc (ATMB) étaient en grève toute la journée.
Présents 24 h/24 chaque jour de l’année, leur rôle est important puisqu’ils ont la responsabilité de la sécurité du trafic, en sillonnant le réseau autoroutier.
Un métier que l’UNSA juge mal reconnu.
Plusieurs revendications sont avancées à l’appui de ce mouvement de grève. La diminution de moitié des effectifs ne permet plus d’assurer une efficacité optimum quant aux délais d’intervention.
Présents 24 h/24 chaque jour de l’année, leur rôle est important puisqu’ils ont la responsabilité de la sécurité du trafic, en sillonnant le réseau autoroutier.
Un métier que l’UNSA juge mal reconnu.
Plusieurs revendications sont avancées à l’appui de ce mouvement de grève. La diminution de moitié des effectifs ne permet plus d’assurer une efficacité optimum quant aux délais d’intervention.
De plus, le patrouilleur est isolé et les moyens matériels mis à sa disposition (radios, véhicules,…) ne lui permettent pas d’assurer sa fonction dans de bonnes conditions. Enfin, des revendications portaient sur l’augmentation des salaires de base. Après 20 à 25 ans d’ancienneté les patrouilleurs gagnent moins de 11 euros par heure.
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