Bienvenue sur le site de l'Unsa Autoroutes, le Syndicat Autonome du Groupe Sanef. Ni partisan du refus systématique, ni soupçonnable de complaisance. Toute l'actualité sociale de notre entreprise.
Unsa Autoroutes
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mardi 24 décembre 2019
lundi 23 décembre 2019
Clap de fin des DP
La lumière revient déjà, et le film est terminé
Je réveille mon voisin, il dort comme un nouveau-né
Je relève mon strapontin, j'ai une envie de bailler
C'était la dernière DP, c'était sa dernière séance
Et le rideau sur l'écran est tombé
Je réveille mon voisin, il dort comme un nouveau-né
Je relève mon strapontin, j'ai une envie de bailler
C'était la dernière DP, c'était sa dernière séance
Et le rideau sur l'écran est tombé
Voilà ! Fini les Délégués du Personnel, cette belle
instance représentative des salariés en France, créée officiellement en 1936
par le Front Populaire puis supprimée sous le régime de Vichy, rétablie par la
loi du 16 avril 1946 et dont l’origine remonte aux délégués à la sécurité des
ouvriers mineurs (loi du 8 juillet 1890) et aux délégués d'atelier dans
l'industrie de la défense nationale après 1917.
Une instance qui méritait le respect, bien plus qu’elle
n’en recevait lors des réunions.
Une instance dans laquelle ceux qui prenaient le rôle de
représentant du personnel à cœur se retrouvaient à prendre des coups, parfois
bien bas. Il fallait être accroché pour défier la Direction et aller au
casse-pipe pour les collègues. De belles engueulades, quelques rigolades, des
jeux d’acteurs, des représentants de la Direction qui découvraient les
problèmes de leurs salariés, des Directeurs qui s’endormaient, des
assistant(e)s juridiques buté(e)s qui ne comprenaient rien, qui tentaient de
nous apprendre le Code du Travail, des élus « plantes vertes » (ceux
que certains syndicats « maison » plaçaient pour vampiriser les
sièges d’élus et qui brillaient par leur absence) qui pouvaient postuler au
poste de vérificateur des néons plafonniers tant ils aimaient scruter le
plafond avec parfois un regard absent de toute forme de vie terrestre, des
cadres élus avec la bénédiction de la Direction et qui ne savaient pas si ils
devaient s’asseoir avec le peuple ou à côté du Seigneur Directeur, des élus
arrivistes qui ne comprenaient même pas leurs questions, ou qui ne savaient pas
les défendre quand leurs auteurs n’étaient pas là, ou qui plantaient même
carrément les salariés avec leurs questions.
Des dénonciations aussi, du temps des petites mafias…
caisses noires, ventes sans facture, accumulation de CDD à répétition sans
période de carence pour la famille d’un « bien placé » avec la
bénédiction de son chef et de la Direction, le trafic d’heures exceptionnelles
programmées, etc … tout ce qui nous a posé certains problèmes par la suite,
certains de nos élus ayant été visés par vengeance.
Bref, du beau spectacle avec tant d’anecdotes que l’on pourrait
en faire un livre.
Une belle instance dont le rôle des élus était de
réclamer et de revendiquer face à une Direction qui brillait par ses non-réponses,
une Direction dont la devise pouvait être « dites-moi ce dont vous avez
besoin, je vous expliquerai comment vous en passer…(Coluche)
On en a vu passer des Directeurs, toujours plus
intelligents et plus malins que les précédents, jusqu’à ce qu’ils soient à leur
tour remplacés par un qui les surpassait, et ainsi de suite.
Donc voilà, c’était la dernière séance. On a réveillé
notre voisin de la Direction qui dormait, la salle s’est vidée. L’instance des
Délégués du Personnel disparue un temps sous le régime de Vichy n’a pas survécu
à un énième assaut parlementaire qui, sous couvert de modernisation du dialogue
social en entreprise, en a profité pour la rayer définitivement de la
représentation du personnel, avec la bénédiction à peine voilée du patronat et
autres medef-compatibles.
l'Inf'Autonomes, l'information autonome du groupe Sanef du mois de décembre est à lire ou à télécharger ici : lien
vendredi 20 décembre 2019
vendredi 29 novembre 2019
mardi 26 novembre 2019
Senlis Chamant (A1) : Un camion fou percute le péage et prend feu
Un camion a percuté de plein fouet une
barrière de péage à Chamant, dans l’Oise, et a pris feu dans la matinée de ce
mardi 26 novembre, comme vous pouvez le voir dans la vidéo ci-dessus. Selon la Sanef (Société des
autoroutes du Nord et de l’Est de la France), le poids lourd aurait “refusé de
s’arrêter et délibérément percuté le péage”.
Selon les informations du Courrier
picard, ce camion avait été impliqué dans un accident alors qu’il
circulait sur l’autoroute A1 dans le sens Lille-Paris, quelques minutes
auparavant. Il aurait refusé de s’arrêter et a été pris en chasse par la
gendarmerie.
Après une course-poursuite ”à vive allure” qui a duré
plusieurs minutes et “des manœuvres extrêmement dangereuses”, selon la Sanef, le
camion a donc percuté la barrière de péage de Chamant-Senlis, où il a pris feu.
Cet incendie a provoqué d’importants bouchons dans la
zone. Vers 10h30, les pompiers avaient réussi à circonscrire le feu, et la
circulation a pu reprendre à 11h.
mercredi 6 novembre 2019
lundi 4 novembre 2019
la douce période des élections pro...
Les voilà, ils attaquent !
En cette douce période électorale qui
amène, comme à chaque échéance, son lot de gentillesse et d’amabilité en tout
genre, voilà que survient une nouvelle démonstration d’amour : le dézinguage systématique. On ne
compte plus les hordes de petits soldats médisants se chargeant, partout où ils
passent, de démolir les autres organisations syndicales.
C’est simple, si tout va mal, c’est
de la faute des autres, la nôtre aussi en l’occurence, ils ne signent que de la
merde. Alors qu’avec nous, les « Moi-Je » professionnels, tout irait
pour le mieux. Imaginez, des augmentations de salaire à 3 chiffres, la journée
de travail de 4 heures pour tout le monde, 20 RTT de plus par an, les ouvriers
passeraient tous cadres, la participation aux bénéfices multipliée par 2, au
moins ! Et en plus, je te promet des mandats en veux-tu en voilà, histoire
de t’attirer dans nos filets propagandistes et opportunistes…
Rien n’est trop beau pour appâter les
nouvelles voix. Et surtout, il faut faire oublier l’arnaque à l’intéressement
d’il y a quelques années, quand chaque salarié a perdu pas loin de 500 euros,
et la rigolade de la prime viabilité, en mensualisant une prime existante et en
offrant généréreusement quelques points par mois (entre 2 et 4..) pour
continuer à se faire frôler le fessier sur les bandes d’urgences. Les prémices
d’une forfaitisation pour la viabilité avec la bénédiction des « Moi Je » ?
Donc à défaut de proposer, de
construire, d’aider, dézinguons et dézinguons encore…
En ce qui nous concerne, à l’Unsa,on
est habitué à ces opérations de calomnies et de dénigrements. Nous préférions quand
même le dézingueur original à cette actuelle pâle imitation. Ça ne nous empêche
pas de continuer notre mission sociale en s’investissant dans les instances et
en étant force de proposition.
Nous avons connu de dures périodes
électorales, pendant laquelle la bête endormie 4 ans durant se réveillait et
attaquait à tout và.
Aujourd’hui, ça ne ressemble
malheureusement qu’à du racolage préélectoral malhonnête.
Bien peu pour nous,
on a autre chose à faire que d’alimenter une certaine frustration existentielle
sans fin. Face à cette sulfateuse verbale on préfère se concentrer sur
l’information, la défense et la représentation de tous les salariés, qui,
encore une fois, sont les spectateurs de cette triste mise en scène. Peace !
la lettre d'Inf'Autonome à lire : ici
Le corridor de sécurité
Le corridor de sécurité, qu'est-ce ?
Le corridor de sécurité est une barrière virtuelle que tout conducteur doit respecter, à l’approche des personnels qui interviennent sur le bord d’une route, voie rapide ou autoroute, dès que des signaux lumineux réglementaires sont aperçus. Il est destiné à protéger les intervenants (Patrouilleurs autoroutiers, pompiers, gendarmes, dépanneurs).
Les conducteurs doivent changer de voie de façon à en laisser une libre entre les intervenants et leurs véhicules, ou se caler le plus possible à gauche de leur voie et ralentir très significativement, notamment hors voie rapide et autoroutes.
Le principe d’un corridor de sécurité a été adopté en France et inscrit dans le Code de la route par décret 2018-795 du 17 septembre 2018, publié au Journal officiel le 18 septembre 2018.
Si vous ne respectez pas ce corridor, vous vous exposez à une amende forfaitaire de 135 €.
Trois cas de figure peuvent se produire.
1. L’incident a lieu sur la bande d’arrêt d’urgence et les deux ou trois voies sont libres :
• ralentissez ;
• après avoir vérifié que la seconde voie est libre, empruntez-là : la voie la plus à droite sert alors de corridor de sécurité ;
• rabattez-vous après la zone de danger.
2. L’incident a lieu sur la bande d’arrêt d’urgence et les autres voies ne sont pas libres :
• ralentissez ;
• quelle que soit la voie sur laquelle vous circulez (1ère, 2ème, 3ème…), déportez-vous au maximum sur votre gauche tout en demeurant dans votre voie ;
• recentrez votre véhicule dans votre voie après la zone de danger.
3. L’incident a lieu sur la même voie que la vôtre :
• ralentissez ;
• après avoir vérifié que la manoeuvre est possible, changez de voie ;
• si possible, laissez une voie de libre entre vous et la zone d’incident. Sinon déportez vous au maximum sur votre gauche tout en demeurant dans votre voie ;
• rabattez-vous après la zone de danger.
Rappel : toutes ces manœuvres doivent être effectuées à vitesse réduite après s’être assuré de pouvoir les réaliser sans danger.
Le corridor de sécurité est une barrière virtuelle que tout conducteur doit respecter, à l’approche des personnels qui interviennent sur le bord d’une route, voie rapide ou autoroute, dès que des signaux lumineux réglementaires sont aperçus. Il est destiné à protéger les intervenants (Patrouilleurs autoroutiers, pompiers, gendarmes, dépanneurs).
Les conducteurs doivent changer de voie de façon à en laisser une libre entre les intervenants et leurs véhicules, ou se caler le plus possible à gauche de leur voie et ralentir très significativement, notamment hors voie rapide et autoroutes.
Le principe d’un corridor de sécurité a été adopté en France et inscrit dans le Code de la route par décret 2018-795 du 17 septembre 2018, publié au Journal officiel le 18 septembre 2018.
Si vous ne respectez pas ce corridor, vous vous exposez à une amende forfaitaire de 135 €.
Trois cas de figure peuvent se produire.
1. L’incident a lieu sur la bande d’arrêt d’urgence et les deux ou trois voies sont libres :
• ralentissez ;
• après avoir vérifié que la seconde voie est libre, empruntez-là : la voie la plus à droite sert alors de corridor de sécurité ;
• rabattez-vous après la zone de danger.
2. L’incident a lieu sur la bande d’arrêt d’urgence et les autres voies ne sont pas libres :
• ralentissez ;
• quelle que soit la voie sur laquelle vous circulez (1ère, 2ème, 3ème…), déportez-vous au maximum sur votre gauche tout en demeurant dans votre voie ;
• recentrez votre véhicule dans votre voie après la zone de danger.
3. L’incident a lieu sur la même voie que la vôtre :
• ralentissez ;
• après avoir vérifié que la manoeuvre est possible, changez de voie ;
• si possible, laissez une voie de libre entre vous et la zone d’incident. Sinon déportez vous au maximum sur votre gauche tout en demeurant dans votre voie ;
• rabattez-vous après la zone de danger.
Rappel : toutes ces manœuvres doivent être effectuées à vitesse réduite après s’être assuré de pouvoir les réaliser sans danger.
mercredi 30 octobre 2019
samedi 28 septembre 2019
jeudi 11 juillet 2019
Faut-il renationaliser les autoroutes? Le débat est relancé par un député de la majorité
Les
concessions aux sociétés privées se terminent en 2032 ou 2036 et le
député macroniste Jean-Baptiste Djebbari propose de reprendre le
contrôle des autoroutes françaises. Une bonne idée ?
Le député La République en Marche Jean-Baptiste
Djebarri relance l’idée d'une renationalisation des autoroutes. D’après
lui, les Français "ont le sentiment que les sociétés d’autoroute se
goinfrent sur leur dos". Et cette renationalisation permettrait de
financer des travaux de rénovation des routes sur le réseau secondaire.
Invité de RMC, face à Jean-Jacques Bourdin, Jean-Baptiste Djebarri a
proposer de créer une société 100% publique qui serait chargée
d’exploiter les autoroutes pour le compte de l’Etat: "Si nous créons une
société publique, l'État reviendra au centre de la régulation"
précise-t-il. Depuis 2006, cette gestion est confiée à des sociétés
privées sur 9.000 km d’autoroutes: Sanef, Vinci, Eiffage.
"C'est déjà de toutes façons une meilleure idée que le statu quo qui ne peut perdurer"
lire la suite de l'article : lien
jeudi 4 juillet 2019
Destruction des 2 piliers du Pont de Gênes
4500 tonnes de béton et d'acier pulvérisées en 7 secondes
Concessions autoroutières: tempête sur Atlantia
Le
titre du groupe italien est fortement chahuté en bourse. Les investisseurs
craignent qu’Atlantia perde ses concessions autoroutières dans la Botte, suit à
l’effondrement meurtrier du pont de Gênes.
Le
titre du groupe Atlantia était de nouveau en net recul ce lundi 1er juillet
2019 à la Bourse de Milan, en raison de craintes
liées à la possible perte de ses concessions autoroutières en Italie,
après l'effondrement meurtrier du pont de Gênes l'été dernier.
En
début d’après-midi, le titre décrochait de 3,49% à 22,11 euros, dans un marché
en hausse de 0,30%. Pour rappel, le groupe italien, spécialiste des
infrastructures (6,91 milliards d'euros de chiffre d'affaires en 2018), gère
plus de 5000 kilomètres d'autoroutes dans le monde, dont plus de la moitié du réseau de la Botte,
soit près de 3000 km, via sa société Autostrade per l'Italia (Aspi).
Un « grave manquement » dans le rapport d’experts ?
Cette chute en bourse était liée à la multiplication des déclarations de ministres issus du Mouvement 5 étoiles (M5S, antisystème), qui réclament depuis le drame d'août le retrait des concessions à Atlantia, société qui appartient majoritairement à la famille Benetton.
Cette chute en bourse était liée à la multiplication des déclarations de ministres issus du Mouvement 5 étoiles (M5S, antisystème), qui réclament depuis le drame d'août le retrait des concessions à Atlantia, société qui appartient majoritairement à la famille Benetton.
Le
ministre des Transports, Danilo Toninelli, a déclaré avoir reçu vendredi soir le rapport technique
d'une commission d'experts. "D'après ce qui émerge, nous
pouvons commencer à dire qu'il y a eu un grave manquement" de la part
d'Aspi (Autostrade
per l'Italia), groupe contrôlé par Atlantia.
« Rapport de confiance rompu »
Il a précisé qu'une décision serait prise "dans les prochains jours ou prochaines semaines" au sujet des concessions. Mais, a-t-il dit, pour le M5S, "le rapport de confiance a été complètement rompu avec un concessionnaire s'étant montré incapable de gérer un bien public", ce qui "doit conduire à une révocation" du contrat.
« Rapport de confiance rompu »
Il a précisé qu'une décision serait prise "dans les prochains jours ou prochaines semaines" au sujet des concessions. Mais, a-t-il dit, pour le M5S, "le rapport de confiance a été complètement rompu avec un concessionnaire s'étant montré incapable de gérer un bien public", ce qui "doit conduire à une révocation" du contrat.
Dans
un communiqué, Aspi a contesté de nouveau "tout manquement grave aux
obligations de maintenance", en soulignant être engagé à "garantir
les meilleurs standards de sécurité" et en rappelant que les causes
"internes ou externes" de la tragédie ayant fait 43 morts n'étaient
pas encore connues.
samedi 15 juin 2019
vendredi 14 juin 2019
Boulay : Péage sans barrière : premier bilan après deux mois de service
"Sept utilisateurs sur dix sont satisfaits de cette nouvelle
technologie" ... ou quand la Sanef mène elle même ses enquêtes de satisfaction ... #Enquêteentouteobjectivitébiensûr
Du côté des clients et des salariés, c'est un autre constat...
Le premier péage sans barrière de France a été mis en service fin
mars, à Boulay. Si la Sanef se félicite des « réactions positives »
liées à cette innovation, le son de cloche est légèrement différent, sur
place, lorsqu’on interroge les automobilistes qui s’acquittent des
frais de péage aux bornes automatiques.
« Sept utilisateurs sur dix sont satisfaits de cette nouvelle
technologie. » C’est ce qu’il ressort de l’enquête de satisfaction menée
par la Sanef après deux mois de fonctionnement de son nouveau péage sans barrière à Boulay.
Cette première conclusion se veut le résultat de « remarques et retours
des clients issus de nos différents canaux de communication : FanVoice,
sanef.com, réseaux sociaux et Sanef Conseil », indique la société
d’autoroute via un communiqué de presse.
« Simplicité du
système », « possibilité de s’acquitter des trajets sous 10 jours sur le
site boulay.sanef.com » et surtout les « gains de temps et de
sécurité », tels sont les arguments mis en avant pour expliquer ce
satisfecit de la clientèle.
lire la suite : lien
Autoroutes : l'Etat veut des péages sans barrières
La loi d'orientation des mobilités défendue par Élisabeth Borne va
favoriser le paiement en "flux libre" aux péages. Mais qui va payer les
nouveaux équipements?
La
voie sera bientôt libre pour entrer et sortir de l'autoroute sans barrière, à
condition de lever d'autres obstacles. La loi d'orientation des mobilités que la
ministre des Transports, Élisabeth Borne, défend à l'Assemblée jusqu'à la fin
de la semaine, doit en aplanir. Pour les compagnies d'autoroutes et leurs
filiales de télépéage pressées d'élargir leur marché, le principal problème est
juridique. Comment dissuader automobilistes et poids lourds de passer à l'œil
sans s'être enregistrés? En créant un délit de récidive.
Le
texte prévoit qu'après cinq passages sans paiement par an, ce sera 7.500 euros
d'amende. Pierre Chasseray, le délégué général de 40 Millions d'automobilistes,
n'y voit pas d'inconvénient. "Que celui qui ne paie pas soit sanctionné,
c'est normal, estime-t-il. Mais le montant est trop lourd ; ce n'est pas un
crime."
Un investissement d'un milliard d'euros
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