Atlantia tourne sans gloire la page des concessions autoroutières italiennes. La famille Benetton limite néanmoins les dégâts en obtenant un prix dans le bas de la fourchette de l'évaluation d'Autostrade per l'Italia (Aspi), qui doit lui permettre de se lancer dans une stratégie encore un peu floue.
« Grassa cucina, magro testamento ». Le proverbe
italien résume à lui seul les deux décennies de privatisation des autoroutes
italiennes auprès d'Atlantia. La boucle achevée par le concessionnaire
d'Autostrade per l'Italia (Aspi) est ironiquement parfaite. Les clés données,
en 1999, à la famille Benetton, son premier actionnaire, par Mario Draghi,
directeur du Trésor, lui seront
reprises par Mario Draghi, président du
Conseil, trois ans bientôt après le dramatique effondrement
du pont de Gênes.
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sources : Les Echos
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