À bientôt 25 ans, l’autoroute A16 fait régulièrement l’actualité.
Migrants, accidents, suicides, intempéries, mouvements sociaux, son
existence est loin d’être un long ruban d’asphalte tranquille...
Maudite, l’A16 ?
Ouverte pour ses premiers kilomètres à partir de 1993 et achevée dans
sa configuration actuelle en 1998, l’A16 reprend essentiellement
l’itinéraire de l’ancienne route nationale 1 (RN1). Elle relie le
littoral belge, la Grande-Bretagne et les grands ports français de la
Mer du Nord et de la Manche (Dunkerque, Calais, Boulogne) à
l’Ile-de-France. Un tronçon est d’ailleurs en cours pour un raccord avec
la Francilienne, prévu pour 2019.
Avec son tracé stratégique et les flux de véhicules qu’elle draine
(camions, cars et voitures), l’A16, payante sur les trois-quarts de sa
longueur (212 km), a tout pour être une pépite.
Concédée auprès de la Sanef depuis 1990 pour sa
partie payante (du péage d’Herquelingue à celui d’Amblainville), sous la
responsabilité de l’État pour sa partie gratuite, cette autoroute
présente une histoire bien mouvementée et dans sa partie gratuite
justement... Tour d’horizon
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sources : La Voix du Nord
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