Bienvenue sur le site de l'Unsa Autoroutes, le Syndicat Autonome du Groupe Sanef. Ni partisan du refus systématique, ni soupçonnable de complaisance. Toute l'actualité sociale de notre entreprise.
Unsa Autoroutes
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vendredi 29 novembre 2019
mardi 26 novembre 2019
Senlis Chamant (A1) : Un camion fou percute le péage et prend feu
Un camion a percuté de plein fouet une
barrière de péage à Chamant, dans l’Oise, et a pris feu dans la matinée de ce
mardi 26 novembre, comme vous pouvez le voir dans la vidéo ci-dessus. Selon la Sanef (Société des
autoroutes du Nord et de l’Est de la France), le poids lourd aurait “refusé de
s’arrêter et délibérément percuté le péage”.
Selon les informations du Courrier
picard, ce camion avait été impliqué dans un accident alors qu’il
circulait sur l’autoroute A1 dans le sens Lille-Paris, quelques minutes
auparavant. Il aurait refusé de s’arrêter et a été pris en chasse par la
gendarmerie.
Après une course-poursuite ”à vive allure” qui a duré
plusieurs minutes et “des manœuvres extrêmement dangereuses”, selon la Sanef, le
camion a donc percuté la barrière de péage de Chamant-Senlis, où il a pris feu.
Cet incendie a provoqué d’importants bouchons dans la
zone. Vers 10h30, les pompiers avaient réussi à circonscrire le feu, et la
circulation a pu reprendre à 11h.
mercredi 6 novembre 2019
lundi 4 novembre 2019
la douce période des élections pro...
Les voilà, ils attaquent !
En cette douce période électorale qui
amène, comme à chaque échéance, son lot de gentillesse et d’amabilité en tout
genre, voilà que survient une nouvelle démonstration d’amour : le dézinguage systématique. On ne
compte plus les hordes de petits soldats médisants se chargeant, partout où ils
passent, de démolir les autres organisations syndicales.
C’est simple, si tout va mal, c’est
de la faute des autres, la nôtre aussi en l’occurence, ils ne signent que de la
merde. Alors qu’avec nous, les « Moi-Je » professionnels, tout irait
pour le mieux. Imaginez, des augmentations de salaire à 3 chiffres, la journée
de travail de 4 heures pour tout le monde, 20 RTT de plus par an, les ouvriers
passeraient tous cadres, la participation aux bénéfices multipliée par 2, au
moins ! Et en plus, je te promet des mandats en veux-tu en voilà, histoire
de t’attirer dans nos filets propagandistes et opportunistes…
Rien n’est trop beau pour appâter les
nouvelles voix. Et surtout, il faut faire oublier l’arnaque à l’intéressement
d’il y a quelques années, quand chaque salarié a perdu pas loin de 500 euros,
et la rigolade de la prime viabilité, en mensualisant une prime existante et en
offrant généréreusement quelques points par mois (entre 2 et 4..) pour
continuer à se faire frôler le fessier sur les bandes d’urgences. Les prémices
d’une forfaitisation pour la viabilité avec la bénédiction des « Moi Je » ?
Donc à défaut de proposer, de
construire, d’aider, dézinguons et dézinguons encore…
En ce qui nous concerne, à l’Unsa,on
est habitué à ces opérations de calomnies et de dénigrements. Nous préférions quand
même le dézingueur original à cette actuelle pâle imitation. Ça ne nous empêche
pas de continuer notre mission sociale en s’investissant dans les instances et
en étant force de proposition.
Nous avons connu de dures périodes
électorales, pendant laquelle la bête endormie 4 ans durant se réveillait et
attaquait à tout và.
Aujourd’hui, ça ne ressemble
malheureusement qu’à du racolage préélectoral malhonnête.
Bien peu pour nous,
on a autre chose à faire que d’alimenter une certaine frustration existentielle
sans fin. Face à cette sulfateuse verbale on préfère se concentrer sur
l’information, la défense et la représentation de tous les salariés, qui,
encore une fois, sont les spectateurs de cette triste mise en scène. Peace !
la lettre d'Inf'Autonome à lire : ici
Le corridor de sécurité
Le corridor de sécurité, qu'est-ce ?
Le corridor de sécurité est une barrière virtuelle que tout conducteur doit respecter, à l’approche des personnels qui interviennent sur le bord d’une route, voie rapide ou autoroute, dès que des signaux lumineux réglementaires sont aperçus. Il est destiné à protéger les intervenants (Patrouilleurs autoroutiers, pompiers, gendarmes, dépanneurs).
Les conducteurs doivent changer de voie de façon à en laisser une libre entre les intervenants et leurs véhicules, ou se caler le plus possible à gauche de leur voie et ralentir très significativement, notamment hors voie rapide et autoroutes.
Le principe d’un corridor de sécurité a été adopté en France et inscrit dans le Code de la route par décret 2018-795 du 17 septembre 2018, publié au Journal officiel le 18 septembre 2018.
Si vous ne respectez pas ce corridor, vous vous exposez à une amende forfaitaire de 135 €.
Trois cas de figure peuvent se produire.
1. L’incident a lieu sur la bande d’arrêt d’urgence et les deux ou trois voies sont libres :
• ralentissez ;
• après avoir vérifié que la seconde voie est libre, empruntez-là : la voie la plus à droite sert alors de corridor de sécurité ;
• rabattez-vous après la zone de danger.
2. L’incident a lieu sur la bande d’arrêt d’urgence et les autres voies ne sont pas libres :
• ralentissez ;
• quelle que soit la voie sur laquelle vous circulez (1ère, 2ème, 3ème…), déportez-vous au maximum sur votre gauche tout en demeurant dans votre voie ;
• recentrez votre véhicule dans votre voie après la zone de danger.
3. L’incident a lieu sur la même voie que la vôtre :
• ralentissez ;
• après avoir vérifié que la manoeuvre est possible, changez de voie ;
• si possible, laissez une voie de libre entre vous et la zone d’incident. Sinon déportez vous au maximum sur votre gauche tout en demeurant dans votre voie ;
• rabattez-vous après la zone de danger.
Rappel : toutes ces manœuvres doivent être effectuées à vitesse réduite après s’être assuré de pouvoir les réaliser sans danger.
Le corridor de sécurité est une barrière virtuelle que tout conducteur doit respecter, à l’approche des personnels qui interviennent sur le bord d’une route, voie rapide ou autoroute, dès que des signaux lumineux réglementaires sont aperçus. Il est destiné à protéger les intervenants (Patrouilleurs autoroutiers, pompiers, gendarmes, dépanneurs).
Les conducteurs doivent changer de voie de façon à en laisser une libre entre les intervenants et leurs véhicules, ou se caler le plus possible à gauche de leur voie et ralentir très significativement, notamment hors voie rapide et autoroutes.
Le principe d’un corridor de sécurité a été adopté en France et inscrit dans le Code de la route par décret 2018-795 du 17 septembre 2018, publié au Journal officiel le 18 septembre 2018.
Si vous ne respectez pas ce corridor, vous vous exposez à une amende forfaitaire de 135 €.
Trois cas de figure peuvent se produire.
1. L’incident a lieu sur la bande d’arrêt d’urgence et les deux ou trois voies sont libres :
• ralentissez ;
• après avoir vérifié que la seconde voie est libre, empruntez-là : la voie la plus à droite sert alors de corridor de sécurité ;
• rabattez-vous après la zone de danger.
2. L’incident a lieu sur la bande d’arrêt d’urgence et les autres voies ne sont pas libres :
• ralentissez ;
• quelle que soit la voie sur laquelle vous circulez (1ère, 2ème, 3ème…), déportez-vous au maximum sur votre gauche tout en demeurant dans votre voie ;
• recentrez votre véhicule dans votre voie après la zone de danger.
3. L’incident a lieu sur la même voie que la vôtre :
• ralentissez ;
• après avoir vérifié que la manoeuvre est possible, changez de voie ;
• si possible, laissez une voie de libre entre vous et la zone d’incident. Sinon déportez vous au maximum sur votre gauche tout en demeurant dans votre voie ;
• rabattez-vous après la zone de danger.
Rappel : toutes ces manœuvres doivent être effectuées à vitesse réduite après s’être assuré de pouvoir les réaliser sans danger.
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