Unsa Autoroutes

Contact :Tél 06 07 80 17 17 / E-Mail : unsa-sanef@orange.fr

vendredi 14 juin 2019

Boulay : Péage sans barrière : premier bilan après deux mois de service

"Sept utilisateurs sur dix sont satisfaits de cette nouvelle technologie" ... ou quand la Sanef mène elle même ses enquêtes de satisfaction ... #Enquêteentouteobjectivitébiensûr

Du côté des clients et des salariés, c'est un autre constat...

Le premier péage sans barrière de France a été mis en service fin mars, à Boulay. Si la Sanef se félicite des « réactions positives » liées à cette innovation, le son de cloche est légèrement différent, sur place, lorsqu’on interroge les automobilistes qui s’acquittent des frais de péage aux bornes automatiques.

« Sept utilisateurs sur dix sont satisfaits de cette nouvelle technologie. » C’est ce qu’il ressort de l’enquête de satisfaction menée par la Sanef après deux mois de fonctionnement de son nouveau péage sans barrière à Boulay. Cette première conclusion se veut le résultat de « remarques et retours des clients issus de nos différents canaux de communication : FanVoice, sanef.com, réseaux sociaux et Sanef Conseil », indique la société d’autoroute via un communiqué de presse.

« Simplicité du système », « possibilité de s’acquitter des trajets sous 10 jours sur le site boulay.sanef.com » et surtout les « gains de temps et de sécurité », tels sont les arguments mis en avant pour expliquer ce satisfecit de la clientèle. 

lire la suite : lien

 

 

Autoroutes : l'Etat veut des péages sans barrières

La loi d'orientation des mobilités défendue par Élisabeth Borne va favoriser le paiement en "flux libre" aux péages. Mais qui va payer les nouveaux équipements?



La voie sera bientôt libre pour entrer et sortir de l'autoroute sans barrière, à condition de lever d'autres obstacles. La loi d'orientation des mobilités que la ministre des Transports, Élisabeth Borne, défend à l'Assemblée jusqu'à la fin de la semaine, doit en aplanir. Pour les compagnies d'autoroutes et leurs filiales de télépéage pressées d'élargir leur marché, le principal problème est juridique. Comment dissuader automobilistes et poids lourds de passer à l'œil sans s'être enregistrés? En créant un délit de récidive.

Le texte prévoit qu'après cinq passages sans paiement par an, ce sera 7.500 euros d'amende. Pierre Chasseray, le délégué général de 40 Millions d'automobilistes, n'y voit pas d'inconvénient. "Que celui qui ne paie pas soit sanctionné, c'est normal, estime-t-il. Mais le montant est trop lourd ; ce n'est pas un crime."

Un investissement d'un milliard d'euros

lire la suite : lien